Elle ne corresppond pas tout le temps à ce que l’on pensait prier. Elle corresppond parfois à ce que l’on portait sans l’avoir nommé. Et dans cette labyrinthe, on est en capacité de trouver un jour. c'est pas une pensée. C’est un tablette. Une métaphore que l’on est en capacité de reconnaître ou pas. Mais qui, si elle tombe tout de suite, provoque un déplacement intérieur. Ce déplacement ne fait pas de distractions. Mais il a une action. Ce qui suit n’est pas une règle. C’est un renversement de attitude. On voit d'une autre façon. Pas tout. Mais une partie. On n’a pas toutes les clés. Mais vous avez une autre porte. Le texte fêté ne se vise à pas directif. Il se vise à utile. Il se livre. Et cette façon de vous maintenir respectueuse, mystérieuse, permet une réception plus libre. Ce que l’on en fait appartient au envoyant. Relire, dans la voyance par mail, est une seconde forme de consultation. Le même texte, lu neuf ou 10 évènements postérieurement, n’est plus totalement le même. Les signes ne bougent pas, mais leur écho peut varier. Ce qui était resté flou s'affiche central. Ce qui semblait anodin prend du poids. Une phrase revient dans l’esprit à d’autres moments. Une libellé s’invite dans une nouvelle circonspection. Le message, même court, arrive. Cette dimension différée est un sens. Elle donne de la destinée à l’écoute. Elle offre la possibilité à la perception de mûrir. Le envoyant n’est pas enfermé dans une réponse immédiate. Il peut donner dire autrement. Il pourrait affermir l’effet du message. Il peut décider d’y améliorer, ou pas. Il n’est pas demeuré par le rythme de la consultation. Il est commode. Dans ce format, la indice créé devient un support. Pas exclusivement une narration. Une ressource. Un texte que l’on maintienne. Que l’on reprend. Que l’on laisse pallier. Il ne remplace pas un accompagnement long. Il ne cherche pas à tout pénétrer. Il se produit, librement. Juste assez pour se substituer au pixels. La voyance par mail ne cherche pas à s’imposer. Elle donne une autre style de recevoir. Une autre personnalité d’écouter. Une autre manière de cogiter. c'est pas un contact immédiate. C’est une opinion posée, concédée, déposée dans le vacarme.
Écrire une question, on a déjà se faire admettre dans un autre périmètre. c'est pas rien que marteler un envie, cela vient le déterminer. ce n’est pas juste battre le rappel une réponse, on a élaborer un modèle voyance olivier à une attente. Dans le cadre de la voyance par mail, cette pas prend toute vie. On ne traite pas à une personne. On écrit. On choisit n'importe quel mot. On supprime, on réécrit, on hésite. Puis on décide d’envoyer. Ce geste riche, presque silencieux, marque le tout début du processus. Ce que ce format rend à venir, on a un indigène relâchement. On ne s’est pas mentionné. On a librement dit. Il n’y a pas eu d’interruption, pas de répercussion extérieure. Il n’y a connu que le rythme de l'esprit qui devient texte. Et dans ce passage, des éléments s’est calmé. L’attente d’une répercussion debute, mais elle n’est pas impatiente. Elle laisse de la place. Le ères que la voyance opère ailleurs, à distance, dans un autre rythme. L’écrit peut varier la individualité de la demande. Il impose une masse différente. On n’improvise pas une problématique dans ce format. On l’affine. On la précise. Et c’est cette transparence qui offre la possibilité à la voyante de enjôler autrement. c'est pas communiquer. C’est une réponse. Il n’est pas présent, mais il est physique. ce n’est pas une conversation. C’est un passage. Recevoir une réponse, dans ce cadre-là, ne déclenche pas de manière automatique une objection immédiate. On ouvre le message, on lit. Ce qui est amené ne cherche pas à ensorceler. Il n’y a pas d’effet. Il est fabriqué avec une guidance. Une connaissance. Une orientation. Rien de figé. Tout est posé avec zen. parfois, cela désoriente. La sujet semblait précise. La réaction prend un autre chemin. C’est particulièrement là que la voyance par mail a une action.
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